LES COMPAGNIES EN LABOS 2024

Cie Marée Basse du 2 au 6/01

Bien cordialement,

UNE FOIS J’AI FAILLI

Cie Marée Basse

Écriture, jeu et mise en scène Emilie Bab
Collaboration artistique Adrien Mcquignon
Lumière Titiane Barthel

Une fois j’ai failli, met en scène les tentatives de vie. Tout ces moments où on a failli réussir quelque-chose, vivre quelque chose de fort, ou comprendre soudain le sens de l’amour et de l’existence. C’est un clown en civil, une femme du monde sortie d’un siècle passé et catapultée à notre époque. Elle est sympathique et nous proposerait bien une petite tisane du soir, tout en portant en elle un mystère qui fait rire et peur à la fois. Elle va venir nous raconter sur scène la fois où elle a failli avoir un orgasme, mais finalement non. La fois où elle a failli faire plaisir à sa mère, mais finalement non. La fois où on sont père a failli raconter son histoire à table, mais a finalement raconté l’histoire du roman qu’il avait lu la veille. La fois où elle a failli avoir un fou rire, pratiquer un sport de glisse, comprendre le Théorème de Pythagore, être émue par un mot d’amour, mais aussi mourir et danser.

Cie Pire Encore du 8 au 12/01

MARIE COEUR-DE-TRUIE

Marie Cœur-de-truie est un conte musical et masqué, qui explore la fiction vertigineuse de la première xénogreffe cardiaque jamais réalisée sur un être humain. Marie mène une vie ordinaire au détail près qu’elle a le cœur gros. Littéralement: cardiomyopathie hypertrophique héréditaire entraînant une insuffisance cardiaque de type systolique complexe. C’est alors que la Chirurgienne lui propose le merveilleux et dégoûtant destin de se faire transplanter un cœur de truie, animal qui devient alors le reflet grotesque de Marie, tandis qu’autour d’elle se met en place un tourbillon médiatique la portant soudainement à la lumière. Dans une master class télétransmise, la Chirurgienne transplante le nouveau cœur, laissant Marie dans un coma qui la soustrait enfin aux regards du monde. Dans l’intimité de son sommeil, elle noue alors un dialogue onirique avec la truie qui l’habite, et qui lui permet de réinventer son rapport à sa chair.

Cie La Capsule du 22 au 26/01

+ POLY - - Collectif La Capsule

POLY STYRENE

Poly Styrène, est une des nombreuses artistes oubliées de l’Histoire. Cette chanteuse-autrice-compositrice est pourtant emblématique du mouvement punk et une figure incontournable pour toustes celleux qui se battent contre les clichés, les cases et les normes. La pièce-concert +Poly- nous invite à entendre ses œuvres et à s’inspirer de cette personnalité dont les compositions, les textes et la voix sont exceptionnel.les.

Texte : Sonia Belskaya
Mise en scène : Paul Lourdeaux
Distribution : Clémence Boisse – Lola Gutierrez – Maxime Crescini – Adrien Wadih – Edouard Eftimakis en alternance avec Paul Lourdeaux

Création lumière : Maurine Boulet
Scénographie : Sarah Smets-Bouloc
Costumière : Lucigael Vaïti

Co-productions :
Etoile du Nord – scène conventionné d’intérêt national pour la danse et les écritures contemporaines
Dinan agglomération – saison culturel
Département des côtes d’Armor.

Soutiens :
Théâtre Gérard Philippe – centre dramatique national de Saint-Denis
Solenval – salle de spectacle – Plancoët
Le LABO – salle de musiques actuelles de Dinan
Nouveau Théâtre de l’Atalante – NTA

Jeune Création du 29/01 au 2/02

VIGNETTE RIEN A FAIRE

RIEN FAIRE

RIEN FAIRE est un aller-retour entre écriture et improvisation au plateau.

C’est en travaillant autour de trois thèmes – le jeu, le souvenir et le verbe faire et ses variantes défaire, refaire, rien faire que j’ai commencé à chercher.
À partir de nos imaginaires, de nos souvenirs et d’entretiens, j’écris ce spectacle qui s’organise comme un un grand texte à trou.
Ne me considérant pas comme auteur à part entière, j’utilise des références pré-existantes comme Il était une fois en Amérique de Sergio Léone ou Rox et Rouky le dessin animé de Walt disney.
Nous composons ainsi un texte à la teneur très orale, et qui parfois pourrait être improvisé. Etienne Blanc m’accompagne à la dramaturgie de ce texte à trou.

EQUIPE

CHARLIE FABERT, SOLAL FORTE, PIA LAGRANGE (JEU)
ETIENNE BLANC ( DRAMATURGIE)
SOLAL FORTE (MISE EN SCENE)

Cie Chants Egarés du 5 au 9/02

VIGNETTE MES HERITAGES

MES HERITAGES BERENICE
HAMLET Racine / Shakespeare

est une enquête sur cette part de l’absence, que je cherche à comprendre dans mon exploration scénique depuis plusieurs années. Et cette enquête passe aujourd’hui à nouveau par le répertoire que je veux venir interroger de plus près. C’est pourquoi j’ai choisi ces deux pièces : outre leur lien thématique et narratif, elles occupent toutes deux une place particulière dans mes affects, ainsi qu’une position emblématique dans notre héritage théâtral occidental.

Nous espérons ainsi questionner la notion d’héritage sur plusieurs plans : qu’avons-nous sacrifié de notre passé pour réussir à vivre et à construire nos identités? que sacrifions nous de nos possible pour le faire survivre? une cohabitation entre les disparus et les présents est-elle possible, sans menace, sans violence?

Théâtre-musique

Mise en scène Marceau Deschamps-Ségura
Jeu & Musique Marceau Deschamps-Ségura Lucie Durand Richard Dubelski  Anthony Martine Léa Moreau Benoît Segui Marion Träger Marianne Wolfsohn
Costumes, accessoires et scénographie Leslie Moquet
Production les Chants égarés

Syncope Collectif du 26/02 au 1/03

VIGNETTE LE PRIX NOBEL

LE PRIX NOBEL DE L’AMOUR

Dans une cérémonie de fantômes venus dévoiler avant de disparaître ce qu’ils n’avaient jamais osé se dire de leur vivant, la réalisatrice Chantal Akerman et la poétesse Wisława Szymborska confient à leur amie fidèle et méconnue Josiane Chantier le sens et la force de l’amitié qui les unissait.

La cérémonie solennelle se déglingue quand des invitées imprévues débarquent et que les émotions des personnages les débordent, en nous tenant sur le fil du réel et de la fiction : est-on sûr que ce qu’on voit est prévu ?

Et personne n’imagine ce qu’avouera Josiane quand elle prendra enfin la parole…

Distribution
Avec
Laure Blatter, Mona Abousaïd, Pauline Darcel, Ghazal Zati et Mélina Bigot

Texte et mise en scène de Vassia Chavaroche
Un spectacle de la Syncope

Cie Le Dahlia Blanc du 4 au 8/03

Hervé Dehé - 1

LES TISSERANDES

Les Tisserandes questionne l’anthropocentrisme occidental et son essoufflement, dans laquelle nous tentons de représenter le fantasme d’une retrouvaille avec le vivant autre qu’humain. Une sœur et un frère se font face, et deux visions du monde s’opposent. L’utopie de la sacralisation de la nature contre la vision d’une écologie s’adaptant aux contraintes du capitalisme libéral. Asméa et Jean se retrouvent sur l’île grecque. Le duo va débattre et se débattre avec leur héritage et les histoires passées qui refont surface. Les Tisserandes, c’est aussi une recherche d’écriture plurielle dans le sens où le pouvoir narratif se déplace du texte à l’image et à la musique dans une danse inattendue qui se confronte elle aussi aux modes de communications anthropocentrés.

Texte: Alexis Leprince et Irène Voyatzis
Mise en scène: Irène Voyatzis
Collaboration artistique: Antoine Formica
Jeu: Antoine Formica… distribution en cours

Créations marionnettes: Alma Roccella
Composition musicale: Stefanos Floras
Chargée de production: Claire Tatin
Regards: Adèle Dumour, Benjamin Lesire Ogrel, Nicolas Lovatin.
Visuel: crédit photo : Hervé Dehé

Cie Ultimato du 11 au 15/03

VIGNETTE Visuel Gorgone

LA VERITABLE HISTOIRE DE LA GORGONE MEDUSE

Le texte, La Véritable Histoire de la Gorgone Méduse, de Béatrice Bienville nous a été présenté en premier lieu dans le cadre de notre cursus au sein de l’ESCA. Nous sommes tout de suite tombées amoureuses de la langue, et surtout de l’histoire et avons eu envie de collaborer ensemble pour lui donner vie.
Nous avons créé la pièce sous forme de lecture, avec mise en espace dans le cadre des mises en lectures de l’ESCA.
Cela nous a permis de nous concentrer sur le texte, sur ce que voulait dire la fable, les mots de l’autrice. Tout de suite une ébauche de mise en espace, de jeu de pupitre, de corporalité s’est imposée à nous, et s’est dessinée tout au long des répétitions.
L’envie est vite apparue chez nous, de monter la pièce dans son intégralité – et sans les pupitres. C’est lors de la seconde lecture publique au Nouveau Théâtre de l’Atalante en juin 2023 que cette envie s’est transformée en volonté et en projet concret.
Aujourd’hui, nous montons la pièce et sommes accompagnées de l’autrice Béatrice Bienville, qui collabore avec nous et avec laquelle nous retravaillons le texte par endroits.

Un texte de Béatrice Bienville
Mise en scène : Léna Bokobza-Brunet et Mélisende Marchand
Distribution : Fabien Chapeira, Aurélien Fayet, Bastien Fontaine-Oberto, Maïa Laiter, Victor Lalmanach, Pierre-Loup Mérieux, Noémie Moncel et Milena Sansonetti
Musique : Minouche Nriot
Costumes & scénographie : Léna Bokobza-Brunet et Mélisende Marchand

Avec la participation artistique du Studio l ESCA

La Springer Cie du 18 au 22/03

VIGNETTE La fin_

LA FIN

Pour changer le monde il faut d’abord l’imaginer, dit Cyril Dion (auteur, réalisateur, poète, militant écologiste). C’est l’ambitieuse tâche à laquelle nous nous attellerons avec La Fin ? : imaginer ce monde souhaitable.

Nous nous appuierons sur une sélection de mythes eschatologiques (récits de fin du monde) ainsi que sur un corpus de textes de scientifiques de notre époque qui militent pour un avenir meilleur (Pablo Servigne, Sébastien Bohler, Cyril Dion,…) À partir de ces matériaux imaginaires et scientifiques nous imaginerons La Fin ?

Nous écrivons à partir de textes théoriques, de mythes et à partir d’improvisations sur des thèmes que nous élaborons collectivement. Nous mêlons théâtre d’ombres, de marionnettes, chant, danse, conte… Selon la forme qu’impose le récit.

La musique occupe une place centrale dans les créations de la Springer Compagnie dont les membres ont une pratique assidue : violoncelle, guitare, flûte traversière, chant…

Pour La Fin ? nous envisageons de jouer notamment du thérémine et de la scie musicale : deux instruments singuliers qui invitent à voyager dans le temps…

Les Cie Sauteuse du 1 au 5/04

23 Mars à 12h - Présentation du projet lors du WET Du 1 au 5 Avr

JE M’EN IRAI

Au Japon les Hikikomori s’enferment dans leurs chambres pour ne plus en sortir. Ils effacent du monde, n’y prennent plus part. Cette réclusion peut durer plusieurs mois, voire même plusieurs années et peut s’assimiler à une disparition douce car, bien que l’Hikikomori ait disparu, on sait très bien où il se trouve. Il s’est perdu quelque part dans sa chambre.

“籠 je m’en irais 籠“ part de cette réflexion; Si comme le disait Lavoisier ( considéré comme le père de la chimie moderne) “ rien ne se perd , rien ne se crée , tout se transforme”, alors que deviennent ces gens qui décident de disparaître?

“籠 je m’en irais 籠“ tend à représenter ce processus d’effacement de soi. C’est une performance théâtrale, qui rend palpable et sensible l’apaisement de n’être rien. La tentative de faire ressentir la plénitude du vide.

Texte / Mise en scène : Nans Merieux
Création Lumière & Vidéo : Edith Biscaro
Scénographie : Edith Biscaro / Nans Merieux
Distribution : Rémi Mesnard / Nans Merieux

Cie Les Métalliques du 22 au 26/04

VIGNETTE ca va ca va

ÇA VA? ÇA VA

Puisque étymologiquement la question nous ramène au corps de l’être humain, à comment il fonctionne et se débarrasse; qu’elle porte sur le transit, l’état des selles, sur ce que nous avons ou pas ingéré et l’état de la digestion de ces éléments, et que son origine remonte à l’état de nos tripes, à la transformation de ce que nous avons ingéré de façon intentionnelle ou non; puisque l’humain est une surface poreuse qui se nourrit malgré lui de tout ce qui l’entoure, de ce qu’il rencontre, de ce qu’il voit, de ce qu’il fait et de ce qu’on lui fait; il serait plus légitime d’y répondre par tout ce qui nous habite, par tout ce dont on est fait, de dire ce que l’on aime, de dire que l’on part, que l’on crève, que l’on touche, que l’on frappe, que l’on voudrait mais qu’on n’ose pas, que l’on croit, que l’on ne croit plus du tout, en rien, que l’on est par terre, que l’on ne se relèvera pas, que l’on vole bien plus haut ou bien plus bas que la ligne de l’horizon, que l’on est aveuglé par la lumière, et ce faisant oui, il faudrait s’affranchir de l’habituelle réponse polie et plate, débile : ça va.

Distribution : Jeu : Thomas Vincent
Texte et mise en scène : Eliott Margueron

Cie 408 du 29/04 au 3/05

Bien cordialement,

Cie Fracas Lunaire du 6 au 10/05

SNORKEL

SNORKEL

d’Albert Boronat. Traduit de l’espagnol par Marion Cousin

Production COMPAGNIE FRACAS LUNAIRE
Mise en scène Julien TOINARD
Scénographie Loana MEUNIER
Jeu
Maysie HILAIRE & Anthony DEVAUX

Sur les paisibles rives d’un lac de haute-montagne viennent se côtoyer plusieurs voix.
Un homme, qui ne peut plus accepter l’idée qu’il mène une vie complètement conne, vient seul en quête de spiritualité. Une femme fait une randonnée avec sa soeur et son beau-frère, snorkeliste militant, après une cure de désintoxication. Une bouteille de Destop se baigne avec un applicateur de tampon. Un trio d’amis célèbre la majesté des lieux en prenant des champignons hallucinogènes.
Anita regarde deux Danois améliorer la réalité.
Snorkel est une constellation de récits. Cet ensemble nous offre la vision d’êtres qui pataugent. Ils dérivent tendrement, en chaos, vers la catastrophe.
C’est le dessin d’une humanité prisonnière de son écosystème, coincée entre les mystères des fonds aquatiques et la splendeur des étoiles qu’elle ne peut que contempler.
Devant ces personnages biberonnés aux stupéfiants, nous nous en remettons à Rainer Maria Rilke:
Est-ce notre quotidien qui est pauvre? Ou ne sommes-nous pas assez poètes pour ne pas appeler, à nous, ses richesses?

Collectif 100 degrés du 13 au 17/05

VIGNETTEL - WHY YOU TELL ME

WHY YOU TELL ME TO DO

Jean Daniel est un aspirateur.
Il a un secret : il sait chanter.
Il a un rêve : dévoiler son secret sur une scène.
Aujourd’hui c’est le grand jour, son ami Thierry l’accompagne.
Va-t-il y arriver?
Oh oui il voit vos regards qui le paralysent : un aspirateur qui chante ?
Mais ce que Jean Daniel ne sait pas encore c’est que c’est sa dernière chance.
Pourquoi ?
Il le découvrira en même temps que vous.

Avec cette résidence au NTA je veux approfondir ce début de recherche, je m’amuse beaucoup à faire vivre cet aspirateur. C’est peut-être simple mais je crois que quand on s’amuse c’est bon signe, cela nous donne une joie, une imagination et une force sans limite pour travailler. Avec cet aspirateur je me sens libre dans l’écriture, dans la mise en scène et dans le jeu. Il m’a permis de faire ce que je n’avais jamais osé faire : chanter. Alors après deux ans durant lesquels je n’ai pas eu l’opportunité de le retrouver je veux à nouveau pouvoir le regarder sur une scène et me dire: Mon Jean Daniel comment vas-tu me rendre libre encore une fois ?

Équipe
Écriture & mise en scène: Romain Bouillaguet
Collaboration Artistique: Charlotte Levy
Lumière & son: Léo Mondon
Jeu
Romain Bouillaguet et un aspirateur

Cie Chaos Solaire du 20 au 24/05

VIGNETTE Invraisemblable

INVRAISEMBLABLE

Dans une république démocratique semblable à la nôtre, Philippe Balconnet, député-maire de la commune de Bourbon-sur-Seine, est sur le point de se faire réélire pour la énième fois. Mais tout ne se passe pas comme prévu… Au fil d’intrigues jubilatoires et de rebondissements grotesques, Philippe Balconnet se métamorphose en véritable tyran et fait de sa ville une cité-état où la loi est réinventée. Invraisemblable est une quête de sens autour de la folie et du pouvoir. C’est un quatuor interdisciplinaire qui se nourrit de formes expressionnistes, une farce chorégraphiée qui aborde les rapports de domination, une satyre politique questionnant les parallèles entre pouvoir et démesure. Le spectacle tisse un langage scénique entre chorégraphie, texte, manipulation d’objets et création sonore originale.
L’équipe artistique:

Anthony Devaux – Écriture, mise en scène & jeu
Esther Wahl – Mise en scène, chorégraphie & jeu
Estelle Rotier – Jeu, danse, chant
Gaëtan Vettier – Jeu, danse, chant
Jeanne Susin – Création musicale
Titiane Barthel – Création lumière

Cie Biceps du 27 au 31/05

VIGNETTE RING

RING

Un concept de Lukas Dana en collaboration artistique avec Erwan Tarlet.

JEU : Erwan Tarlet / Lukas Dana

Regard extérieur : en cours.

Le texte :

RING est une tentative artistique hybride physique et performative qui propose une réflexion sur les mécanismes de violence et de domination que peuvent exercer les hommes cis-hétéro entre eux. En prenant pour point de départ la boxe, il s’agira de tenter de révéler une potentielle pulsion sexuelle taboue qui utiliserait l’usage de la violence encadrée pour exister.

Au milieu du plateau est installé un ring. Le spectacle suit la dramaturgie d’un combat de boxe professionnel, il débute avec l’entrée des combattants en peignoir sur fond de musique, puis de 12 rounds de 3 minutes avec 1 minute de récupération entre les rounds. Dans chaque round nous explorerons des façons de représenter cette violence et cette part d’ombre de façon décalé et poétique. Sans hésiter à aller vers le cliché, le grotesque et tordre le cou de la réalité pour s’éloigner du rationnel et prendre le parti d’inventer des situations absurdes voir monstrueuses.

LE VISUEL

Dante et Virgile, de William Bouguereau – 1850